mercredi 9 avril 2008

1ère étape : des objectifs à fixer

La première étape et non des moindres consiste à fixer quelques objectifs, notamment techniques. Car ce genre de projet est avant tout un défi technique.

Avant tout, je reste un fan (et dans une certaine mesure un utilisateur confirmé) du langage java. Et c'est bien là le coeur de mon projet : démontrer qu'on peut faire quelque chose de sexy, de rapide et de fun en java. Sceptique ? je vous invite à me suivre dans les différentes étapes du projet.

Donc quelques objectifs :
  1. Application (très) riche graphiquement et temps réel.
  2. Jeu multijoueur (enfin 1 contre 1) pour batailler un peu avec le réseau (et parce que ca évite de programmer une IA :°).
  3. Faire quelque chose de sobre (parce que je suis pas très bon en dessin :D) et de fun (parce qu'il faut que les joueurs oublie tous les détails techniques et prennent du plaisir à relancer le jeu, ce qui serait une consécration ultime pour un projet tel que celui-ci).
  4. Se concentrer sur des points souvent délaissés dans les jeux vidéos : l'ergonomie clavier essentiellement
  5. Vous commenter mes travaux successifs et détaillez certains points que je jugerai intéressant (et justifiant l'effort de rédaction).
Ces objectifs sont dus au fait que je n'ai pas beaucoup de moyens, assez peu de temps, que je suis seul et qu'il me manque pas mal d'expérience dans bon nombre de technos classiques du domaine (3d, effets spéciaux, couche réseau, sons, interface graphique).

Le principe du jeu que j'imagine vaguement est le suivant : jeu de plateau 1 contre 1, un peu à la risk, mais temps réel (contre tour par tour pour l'original). Les parties doivent durer moins de 5min. Un mode "arcade" est prévu avec l'utilisation intensive de bonus variés capable de retourner une situation afin de ne pas trop ressembler aux échecs (pas trop de notions stratégiques requises). En gros il faut pouvoir s'amuser ; éventuellement en développant des tactiques.

Voici jetées les premières fondations d'un projet amateur grand ouvert !

mercredi 21 novembre 2007

La Boîte de Jazz - partie 1

L'espace a ceci de particulier de ne pas offrir la cadence du jour et de la nuit. Et les primates de « La Boîte de Jazz » s'en souciaient fort peu à cette heure. Imbibés qu'ils étaient, éberlués par la fumée, par les sons étouffés des verres qui s'entrechoquent, de rires qui éclatent, émaillés de conversations qui s'emballent, personne ne répondait plus de rien.
Seuls semblaient tenir la barre le trompettiste et son « orchestre », accrochés chacun à leur instrument comme à une bouée de sauvetage. Et comme Marco, le maquereau, à ses enfantillages ; belles de nuit constellant le paysage !
Au fond, entre couples prometteurs et vieilles engueulades, Lober et son compère restaient là, mi planqués mi hagards. On ne risquait pas de leur décerner la palme de l'enthousiasme...

Pour comprendre ces personnages il faudrait les avoir suivis pendant les quelques 72 heures (standards) précédentes.

Toi qui m'écoutes, tu ne sauras patienter aussi longtemps. N'aie pas peur je vais t'épargner trop de baratin. Tendons l'oreille, et gare à celui qui se laisserait distraire par le swing nonchalant de cette guinguette inter spatiale...

« Il viendra le temps où tu m'expliqueras tes aventures !? »
« C'est tout juste si je songe à te les raconter. Je n'y comprends pas grand chose moi-même... »

Lober venait d'atterrir, et n'avait d'autres envies que de griller sa blonde et boire sa dose réglementaire de Grenat. Cette boisson sans caractère présentait l'avantage non négligeable de rendre ivre le plus endurci, sans pour autant émailler les gorges fatiguées. Et Lober s'en trouvait fort aise, ses bronches en témoigneraient par avance.

Laconique de formation, il avait gagné en mystère, nimbant ses rares phrases des adverbes de circonstance.

Et cela finissait par exaspérer son hôte.

« Quel heure est-il au juste ? »
« Quelle importance ? »
« Tu réponds toujours par une question ? »

Les billards claquaient un peu trop fort. L'alcool n'aide pas à affiner ses trajectoires.

« Je ne vais pas m'enfuir, où veux-tu que je file dans cette station ? »
« Lober, pourquoi me crains-tu ? »
« Ce n'est pas toi que je crains. Ce sont mes semblables. »
« Le délire de persécution n'a jamais rien apporté de bon. Tu vis hors du monde, tu ne sais même plus à quoi ressemblent tes semblables. Il n'y a pas que l'Aérospatiale. Fut-elle omniprésente et pourrie jusqu'à la dernière tôle ou à la moindre poutrelle. »
« Tu comptes servir d'exemple à ta démonstration ? L'espèce est soluble dans l'espace. »
« Tu veux développer ? »

Deux volutes venaient emplir l'aquarium de volumes éthérés.

« Ce serait trop tentant. Tu n'as que 2 options : réfuter par principe ce que j'aurais à dire ou me traiter de fou. Je ne vais pas t'offrir ce que j'ai cogité depuis si longtemps. »
« Vieux hibou. Tu n'as pas encore compris. Pourquoi suis-je venu te trouver ? »
« Pour étouffer tout ça. Sors ta flûte et endors la populasse bienveillante. »
« Laisse-moi te dire que tes métaphores manquent quelques fois d'à propos... »

Poésie nocturne

Un temps à ne pas mettre un scaphandre en apesanteur !
Presque 840 à mon autochrono. Nous voilà, comme prévu, dans le cône d'ombre de la terre. Ce que les terriens appellent une éclipse de lune. Moi j'appelle ça un peu de divertissement ! Tourner en rond, toujours lui faire face, il y a un moment où on sature ! Gaïa qui nous nargue avec ses couleurs, avec ses nuages... ses nuages... sa pluie ! La sensation de ces gouttes, tantôt grosses, tantôt fines, parfumées selon la saison... et cette humidité qui vous chatouille les poumons. J'ai toujours eu les bronches fragiles ; mon docteur dit le contraire. « Hormis votre prothèse à l'épaule, vous êtes comme neuf !» Il a juste oublié d'ausculter mes neurones... en patraque, un vrai carnaval sous mon scalp. Je ne fait plus aucun de rêves, ou bien seulement ce remake incessant de ce soir qui ... Non ! Il faut que j'arrête avec ça...
Le vent... j'en ai perdu le souvenir. Ce ne sont pas ces fichus courants d'air qui vont m'en consoler. Ils vont et viennent, insidieux, léchant de leurs langues glacées mes côtes ou mes orteils. C'est malsain. Non pas qu'on en tombe malade (ou du moins pas moi) mais plutôt qu'il y a plus à en perdre la tête. Comme s'ils avaient fait exprès ! Un peu de paranoïa par moment ne fait pas de mal !
850 ...
Il devrait faire « nuit » sur Exo-10.
Je suis peut-être en retard...
Il paraît qu'il y a longtemps on faisait des montres à cadrant, à ressorts... j'ai jamais rien compris à la mécanique, mais il semble que c'est beaucoup de fatigue pour pas grand chose... « Comment peut-on travailler ou vivre sans outil de mesure du temps précis ? », rabâchait-il. Un sacré personnage le commandant. J'ai fini par garder ses tics tiens ! Un peu fêlé, mais pas trop le choix pour atteindre un poste pareil. Toujours perdu dans ses cartes, dans ses relevés topo et ses plans de troupes. Je me demande bien quel intérêt on peut trouver à combattre de la sorte ! On était une vingtaine dans ce vaisseau, quand même ! Une belle équipe... j'y serais bien resté si ... Nom de nom !
Sa montre ne retardait pas. Si Exo-10 restait dans le jour, ce n'était qu'artificiel. Une lueur baignait les stations du secteur 1 de ces douces couleurs pastels. On eut pu croire à un apaisant tableau, mais ça n'était que mort et destruction. Le TL01 n'a pas atteint l'orbite de pré lancement. Il n'en a pas eu le temps... Pas d'onde de choc, pas de bruit d'explosion, juste le spectacle encore plus terrifiant d'un géant éventré et lamentable... Comme un film mal monté, la succession des deux scènes en ferait frissonner plus d'un. La surprise en était renforcée par l'improbabilité d'un tel « événement ».
Tout l'arrière du vaisseau est en miette ! Les moteurs ont du amplifier l'explosion. A première vue c'est un sabotage, une bombe... je vois pas comment une attaque pourrait produire de tels dégâts ! Ou alors un accident du réacteur primaire... Mais non, ça ne colle pas, si j'ose dire, avec le « résultat ».
Décharné, les lambeaux lamentables vont pleuvoir sous peu. Ça va causer un sacré merdier ç't'affaire !
Bien que faiblement armé, il n'en restait pas moins redoutable. Peu de pirates ont les moyens d'attaquer cette classe de vaisseaux. On a longtemps cru que leur seule présence suffirait à pacifier le système. L'amirauté va réagir, et ça sera assurément pas très joli à voir... On fait état de 2000 engins TN à sa disposition. Une sacré force de frappe, sans équivalent connu. Ils l'ont toujours nié, mais ça ne prend pas ! Chacun de ces missiles pourrait anéantir une petite flotte. Il ne va pas faire beau être contrebandier.
Ça y est, l'alarme d'évacuation a fini par retentir dans les couloirs... toujours aussi désagréable ! Enfin je dis ça, j'en ai jamais entendu de vrai, c'est tout juste si on a fait un exercice en 3 ans. Bon du coup je fais quoi moi ? Je suis pas du genre à paniquer, mais il faudrait pas qu'un morceau de carlingue nous tombe sur le coin de la verrière ! Bon direction le niveau inf', je vois pas trop ce que je peux faire d'autre de toute façon...
A force de errer dans ces couloirs, j'avais fini par me convaincre de l'abandon de la base. Il est toujours curieux d'observer ce fourmillement désordonné d'humains en panique. Quels sauvages, c'était bien la peine de se civiliser et de mettre au point des procédures d'évacuation !
Il y a de tout dans cette station : ça va du troufion réserviste au général de division en passant par les industriels et les contrebandiers (qui se cachent bien de l'être, sale temps pour les cafards). Cela dit j'ai pas non plus le temps d'observer mes semblables... c'est quelle échelle qu'il faut prendre ?

Exo-1 blue's

Il faisait froid, dans cette putain de base. Pas un nuage à l'horizon, et ce coucher de soleil qui n'y ressemblait pas. Un bal funèbre, rien à espérer. Voilà maintenant 3 ans que je traîne ici, à vivre de rapines, d'opérations clandestines sans envergure. Et dire que je m'imaginais conduire ma propre flotte. Même pas pilote ou artilleur... recalé pour incompétence. Je pense plutôt qu'ils avaient peur de moi.
Mes états de service ne sont pas glorieux : 3 missions comme assistant mécano, une seule en tant que suppléant canonnier...
J'en ai marre de ces courants d'air, la ventilation déconne ; elle l'a toujours fait d'ailleurs. Si j'étais optimiste je dirais que c'est pas mal quand même. J'ai l'insigne honneur de survivre dans la première station lunaire : Exo-1 comme ils l'appellent. Un point de non retour, ça fait des décennies qu'elle ne joue plus aucun rôle, depuis qu'on a mis au point des moteurs spatiaux dignes de ce nom !
2 morts, et 1 vaisseau de transport sévèrement endommagé. Voilà tout ce à quoi j'ai pu servir pendant cette escapade de 2034. Il n'y avait rien à en espérer. Et on a pas été déçus !
Exo-1 était alors la plus prestigieuse des créations humaines, une « merveille » de plus, j'en ai perdu le décompte... Y être était une chance inouïe : nouveaux colons, premiers explorateurs civils depuis des siècles ; la chance d'une vie. Nous étions un millier dans cette expédition. Rêves de fortunes, de gloire ou juste de vie meilleure. Fallait-il être désespéré pour quitter cette Terre pour un caillou mort tout juste en vis à vis. Comme déménager d'un bidonville au taudis d'en face. Rien à en tirer.
Oh pourtant à l'époque on pouvait rêver ! Les explorations du XXème siècle n'avaient rien trouvé d'intéressant. Mais être sur la lune, sur Exo-1, y vivre en devenir un indigène, c'était se construire un avenir dans l'espoir de tenir un rôle de premier rang dans l'exploration du système.
Personne n'était dupe : l'armée envoyait au casse-pipe des civils enthousiastes, « triés sur le volet » - traduire « suffisamment désespérés pour courir le risque ».
Un Tupo-Leffe vient de passer, dernier fleuron de nos chers militaires. Je me demande bien d'où ils ont tiré ce nom ridicule... TL01 pour les intimes. J'ai toujours cru les militaires mégalomanes ; je ne pensais pas qu'ils l'étaient au point d'en prévoir au moins 10 modèles différents ! Allait-on assister à la constitution d'une de ces armadas que l'histoire a déjà connues ? Et pour aller où ? Ça fait longtemps qu'on sait ne craindre plus rien de personne, et surtout pas des petits hommes verts. Moi je dis que s'ils existent et sont capables d'atteindre notre système, alors ils nous réduiraient en bouillie à leur guise !
Il faudra que je pense à contacter Boris. 15 mois qu'il est stationné sur M2. Un fier pirate que celui-là ! Je ne devrais pas dire ça, il a bien mérité de l'armée. Lieutenant, ou un truc comme ça. Enfin suffisamment pour de temps à autres diriger un de leurs croiseurs, la classe !
Oh et puis je m'y perds, cette hiérarchie, ces règles débiles et hypocrites... Voilà pourquoi ils ne m'ont pas retenu ! Insubordination... cours martiale... il faut que j'arrête de penser à tout ça. Mel s'en est pas tiré... Moi je croupis ici, mais je suis vivant ! Un fantôme de plus dans Exo-1.
Même pas le droit de m'installer sur Exo-10 ou Exo-11. Des paradis ! Il me suffirait de quelques unités pour monter mon affaire.
Interdit de vols spatiaux, interdit de transports lunaires... bref : enfermé ici et nul moyen de s'en échapper. Du moins le croyais-je...

dimanche 18 novembre 2007

De la fragilité de l'imagination

Le rêve est au coeur de mon existence.

Et le rêve est un symbole parfait de la fragilité de nos émotions, de nos pensées. Il s'évanouit au petit matin, il s'évapore avec les brûmes de notre sommeil. Et paradoxalement, quand nous nous réjouissons d'enfin émerger chaque matin (moi c'est rarement avant 10h), nous perdons par là même l'enchantement de nos escapades nocturnes !

Quelle source incroyable de création que les rêves. Quand on laisse toute notre capacité créatrice s'exprimer. Quand notre raison s'échappe, trop occupée à organiser notre mémoire, à cimenter nos souvenirs récents, quand enfin s'expriment toutes nos sensations de la journée en un tableau inédit et assez souvent invraisemblable, alliant les figures antinomiques pour former des scènes trop folles. Quand nos remords et nos espoirs prennent de l'altitude, extrapolant nos expériences diurnes pour enfoncer nos certitudes ou nos doutes.

Quand tout cela est réunit apparaissent de furtives images, sépia ou technicolor selon les individus. Et tout cela contribue à l'équilibre, indispensable contre-poids à nos tracas quotidiens.

Et pourtant, ce ne sont pas ces rêves-là qui animent mes projets. Non je pense plus souvent tout éveillé à ce à quoi j'aimerais que mon monde ressemble. Mais ces rêves-là ne s'éloignent pas tant que ça des illusions morphéennes. Ils partagent le caractère étheré, l'imprécision des traits, la volatilité des images. Tout cela s'échappe sans pour autant me laisser indemne : j'en finis par prendre pour mes désirs de premier plan ces pensées furtives. Et c'est ainsi que j'envisage mes projets personnels.

Oh! bien sûr cette poésie n'est pas en cause quand j'entreprends de développer une bibliothèque de stockage des propriétés de ma vidéothèque numérique, ou quand je m'engage dans la rédaction d'une ontologie de l'univers de Dune.

Sunny-moon fût initié par un rêve éveillé, un de ceux que je vis les yeux grands ouverts dans la solitude d'une nuit blanche. Il n'y a guère que dans ces conditions que j'arrive à produire quoi que ce soit. Je n'ai pas la capacité de concentration suffisante pour supporter une ambiance agitée ou même la simple activité internet de la journée (les nouvelles ne semblent tomber qu'en journée en France).
Sunny-moon est la rencontre d'un désir de joueur, de mes connaissances techniques et d'une idée, encore vague, d'univers futuriste (de science-fiction réaliste). Ce dernier point n'étonnera pas ceux qui me connaissent ou du moins qui connaissent ma bibliothèque. Je ne me suis jamais écarté de la SF, et c'est avec Herbert que j'ai définitivement pris goût à la lecture, notamment celle "difficile" (le cycle de Dune mérite d'y accorder un temps certain pour peu que l'on soit un lecteur consciencieux).

Je vous exposerai dans un prochain billet ma vision sur l'univers que je cherche à construire...

samedi 17 novembre 2007

Turn the light on!

Pour les égarés du web qui pour je ne sais trop quelle raison se retrouvent sur ce "blog" je présente dans ce billet introductif tout ce qui me motive à l'alimenter.

Avant de parler de ce que je souhaite entreprendre, je me présente.
Je me prénomme Frédéric, j'ai 23 ans bien tassés, je suis né à Grenoble (dans les Cévennes donc) et je suis développeur de mon état. Autant dire que j'ai le profil idéal d'un "blogger". Pour autant je ne m'associe pas du tout à cette mode. Je me contente d'utiliser l'outil tel qu'il existe à défaut d'en avoir développé ma propre version. Je profite d'un système bien en place, qui ne choquera donc personne mais qui a surtout le mérite d'être robuste (car oui on peut être à la fois flemmard et soucieux de la qualité, même si c'est atrocement difficile, j'y reviendrai par ailleurs).

Alors quoi, qu'est-ce que ça veut dire tout ça ? Et bien j'y viens :

L'objet de ce blog est de vous présenter les aléas d'un projet personnel amateur de jeu. De la rédaction initiale de l'idée au développement concret (j'espère) jusqu'à l'ouverture à un public que tout créateur souhaite nombreux (là c'est quasiment utopique, mais "c'est la chance de ma vie, j'y crois à mort !")...

Et pourquoi avoir choisi ce support ?
Avoir découvert l'informatique fut pour moi une vraie révolution - comme tant d'autres certes...
Et comme tant d'autres j'ai pleins de d'idées en toutes directions ; idées que je ne concrétise que dans 1% des cas (et pour être optimiste). Autant dire que je ne suis jamais inactif. Ou bien cela veut-il dire que je ne suis finalement qu'un rêveur qui ne se donne jamais les moyens de ses ambitions et surtout qui ne met jamais assez d'énergie et de courage pour accomplir quelque chose de réel. Et c'est bien là la conclusion des diverses réflexions (nocturnes la plupart du temps, là aussi j'y reviendrai).
Et donc pourquoi utiliser un blog ??? (parce que je n'ai toujours pas répondu à ma question :P)
Pour pouvoir faire profiter à quiconque de mes réflexions, de mes avancées, de mes errements aussi, de mes hésitations, de mes demandes dans l'espoir peut-être que des talents m'accompagnent. Bref c'est une façon de s'ouvrir au monde.
Pour autant, ce blog ne sera pas un journal de bord de mon travail de développeur. Je réserve ça à mes collègues de travail officiel, et cela n'a rien d'enthousiasmant, croyez-moi !

Alors s'il vous plairait de suivre la création d'un jeu, de participer par vos commentaires, par vos encouragements, par vos engueulades aussi ou vos coups de mains (j'ai toujours besoin de graphistes, sachez-le !), je vous invite à lire ce qui suit.